Communiqué sur LYEC – 15/05/24

Les propos exprimés publiquement par Nathalie Perrin-Gilbert et Alexandre Chevalier, responsables publics de Lyon en Commun (LYEC) sont pour nous des signaux de rupture politique et de confiance avec la majorité écologiste et de gauche au Conseil Municipal de Lyon. Le retrait de délégation d’une élue est une mesure exceptionnelle qui intervient après constat d’une rupture politique et/ou personnelle, ce qui est ici le cas.

Aussi Laurence Boffet, élue du 1er arrondissement et Vice-Présidente de la Métropole, et Sylvie Frénillot, adjointe dans le 9ème arrondissement suspendent leur appartenance au groupe des élu·es de Lyon en Commun à Lyon et à la Métropole.
Laurence Boffet et Sylvie Frénillot continueront leur travail loyalement dans la majorité et les exécutifs des Ecologistes et des Gauches à la Ville de Lyon et à la Métropole, tout en menant les discussions nécessaires sur les questions qui posent débat.

Quant au mouvement LYEC nous demandons une clarification urgente de sa ligne politique et une rupture dans son fonctionnement.
Ensemble! renouvelle par écrit à Lyon en Commun les conditions dans lesquelles il lui serait possible de rester dans le groupe.

Ensemble! rendra compte de son positionnement définitif et expliquera ses actions pour la suite dans une conférence de presse mardi prochain 21 mai à 11h à la Maison des Passages, 44 rue St Georges, Lyon 5ème.

l’Équipe d’animation d’Ensemble! Lyon
Laurence Boffet, Adjointe du 1er arrondissement et Vice-Présidente de la Métropole
Sylvie Frenillot, Adjointe du 9ème arrondissement de Lyon

Communiqué sur la remise à la rue de 170 femmes et enfants

Vendredi 3 Mai, la police a évacué, sur demande du Maire de Lyon, le gymnase Dargent dans lequel 170 femmes et enfants, jusque là à la rue, avaient trouvé refuge. Cette évacuation, en pleine nuit, est un acte d’une violence inqualifiable, qui nous indigne et nous déçoit. La Ville invite les Lyonnais choqués par cette mesure brutale à se retourner contre l’État dont c’est effectivement le rôle d’assurer l’hébergement d’urgence. Bien conscients de cette situation, les associations et collectifs de soutien aux sans-abri ont maintes fois manifesté devant la Préfecture.
Cela dit, une partie importante des sans-abri sont des migrant·es dont la situation ne cesse de s’aggraver. Le Maire participait à la manifestation du 21 janvier contre la Loi Darmanin qui, entre autres injustices, durcit considérablement l’accès à l’hébergement d’urgence.
Les Villes et Métropoles écologistes et/ou de gauche s’honoreraient à montrer une autre voie, conforme à leurs idées et respectueuse de la dignité de toutes et tous. C’est ce que la Mairie de Lyon a, certes avec des hauts et des bas, tenté de faire jusque là. L’expulsion du gymnase Dargent marque-t-elle une vraie rupture ?

Ensemble! 69 appelle la majorité municipale à réfléchir à des solutions concrètes telles que l’habitat intercalaire, le conventionnement des squats, l’occupation des locaux vides… pour que cesse le scandale de toutes ces personnes vivant dans la rue. Il est étrange de s’en prendre aux associations et collectifs (notamment « Solidarité entre femmes à la rue »). Désigner celles et ceux qui alertent comme responsables de la situation est, pour le moins, contre-productif. Les collectifs, avec de faibles moyens, tentent de trouver des solutions : hébergement citoyen, squats, campements…occupation de gymnase. Les élu·es pourraient s’inspirer de leur expérience et de leur créativité. La situation est trop grave pour refuser de renouer le dialogue.

COMMUNIQUE D’ENSEMBLE! LYON

Dans un contexte où l’extrême-droite et la droite extrême sont aux portes du pouvoir, les moments de tensions fortes inévitables dans la mise en œuvre du mandat municipal de l’alliance des Écologistes et des gauches à la Ville de Lyon, comme à la Métropole, doivent être maîtrisés. Ils doivent donner lieu à un débat interne et public sur le fond des divergences et à des propositions pour les surmonter. La remise à la rue « sèche » de 170 femmes et enfants sans abris par l’exécutif de la Ville de Lyon avec laquelle nous sommes en total désaccord à ENSEMBLE!, en est un exemple. La situation au Conservatoire de musique qui connait des dysfonctionnements graves en est un autre. Lors d’une déclaration à la presse à ce sujet Nathalie Perrin-Gilbert a informé que pour elle, il n’y aurait pas d’alliance avec les Écologistes au 1er tour des Municipales en 2026. Venant de la part de la figure emblématique de Lyon En Commun (LYEC), cela ne peut pas être perçu, à juste titre, comme un simple propos personnel.


C’est même la « goutte d’eau » de trop pour les élu.es de la France Insoumise du groupe qui ont considéré que ces propos sur le 1er tour 2026 s’ajoutant à une « photo de famille » autour de Raphaël Gluksman le 1er mai à Villeurbanne, en pleine campagne des Européennes, les amenaient à quitter LYEC. Ils y voient le symbole d’une rupture avec les fondamentaux de LYEC et une dérive droitière vers le PS voire jusqu’à David Kimelfeld. Nous pensons pour notre part que chacun·es des élu·es a le droit à titre personnel d’appeler à soutenir la liste de gauche et des écologistes de son choix pour battre la droite et l’extrême droite lors des élections européennes, mais que cela ne concerne pas notre travail municipal dans LYEC et avec notre majorité municipale.
En fait, cette rupture dont nous prenons acte tout en regrettant que ses fondements politiques n’aient pas pu donner lieu à un débat interne à LYEC, est aussi et surtout pour nous le prix à payer de graves dysfonctionnements du mouvement LYEC que nous avons dénoncé depuis longtemps accompagnés de propositions qui n’ont pas été prises en compte et qui, si elles ne sont pas prises en compte, nous interrogent quant à l’avenir de LYEC et quant à notre avenir dans LYEC.

Pour une démarche unitaire constructive à gauche


ENSEMBLE! estime que la gauche de transformation dont Lyon en Commun se revendique, doit revenir à une démarche unitaire et constructive de débat et d’action dans tout le champ de la gauche antilibérale et des écologistes de gauche. N’est-ce pas la condition pour nous mettre en capacité de stopper la montée de l’extrême-droite et de la droite extrême et d’ouvrir une alternative écologique, sociale et démocratique ? Lyon en Commun se veut une plateforme citoyenne rassemblant des citoyen·nes, des élu·es, des organisations comme LFI, le Gram, Ensemble ! …
Son but est de mettre en œuvre le programme municipal décidé en alliance avec nos partenaires écologistes et des gauches. Et lorsqu’il y a des désaccords et même des divergences, elles doivent être discutées loyalement entre partenaires sans esprit de règlement de comptes personnels. Aucune composante des écologistes et des gauches antilibéraux n’est à exclure à priori : de la gauche anticapitaliste à la sociale démocratie.


Une « Plateforme Citoyenne » pour de vrai


Ces désaccords et divergences, avec leurs traductions électorales, supposent aussi d’être discutées dans la Plateforme Citoyenne Lyon en Commun. Ce qui n’a pas été vraiment le cas depuis 2020 malgré les propositions faites, notamment par les militant.es d’ENSEMBLE! pour faire vivre la dynamique citoyenne prometteuse qui s’était exprimées lors des Municipales, qui n’a pas pu se traduire dans une Association Lyon en Commun regroupant citoyen·nes, organisations et élu·es.
Lyon en Commun n’est pas « la propriété » de quelques élu·es. Lyon en Commun appartient à tou·tes les militant·es et groupes qui ont fait campagne et qui ont permis à Lyon en Commun d’avoir des élu·es qui les représentent.
On ne peut plus se contenter de belles intentions et de réaffirmer de beaux principes que la réalité de fonctionnement quotidien de Lyon en Commun dément depuis longtemps. Il y a bien eu des réunions préparatoires au Conseil de Métropole, et plus récemment au Conseil Municipal de Lyon mais cela ne suffit pas.
Enfin, nous sommes à mi-mandat et de belles réalisations sont en cours dans cette majorité, parfois à l’initiative de nos élu·es ou avec leur participation dans le cadre de leurs délégations. Nous demandons que ce travail soit préservé et continué jusqu’à la fin du mandat.

C’est pourquoi ENSEMBLE! Lyon demande solennellement aux co-présidents du groupe Lyon en Commun et au président du groupe Métropole en Commun la tenue d’une Assemblée Générale extraordinaire de tous les élu·es, adhérent·es et de toutes les composantes de Lyon en Commun dans la semaine du 13 au 17 mai.

Le 09/05/2024,
Pour l’équipe d’animation d’ENSEMBLE! Lyon : Armand Creus, Eric Declais, Gilbert Dumas, Denis Marx

La lettre d’information de Laurence BOFFET – n°16 Avril 2024

Lettre Ensemble! 69 n°51

Samedi 23 Mars, Marche contre les violences policières, pénitentiaires et le racisme d’Etat


Depuis 40 ans l’Association des Victimes des Crimes Sécuritaires lutte aux côtés des familles pour faire
reconnaître et condamner les meurtres commis par les agents de l’Etat, policiers ou membres de
l’administration pénitentiaire.
Abattues suite à des – prétendus ou avérés – refus d’obtempérer et délits de fuite, étranglées ou étouffées par
des placages ventraux, battues à mort, les victimes sont dans leur grande majorité des jeunes racisés
originaires des quartiers populaires, ce qui démontre une fois de plus le racisme qui gangrène nos institutions.
Confronté à ces drames, l’Etat d’aujourd’hui n’en finit pas de se boucher les yeux.
Depuis 2017 l’arsenal législatif assurant l’impunité des forces du désordre a encore été renforcé avec la
promulgation de l’art 435-1 du Code de la Sécurité Intérieur qui offre un véritable permis de tuer aux
policiers sans que, dans les faits, les juges ne cherchent à réellement évaluer la proportionnalité et la nécessité
de tirer à balles réelles. Comment s’étonner ensuite que 4 fois plus de personnes aient été tuées pour refus
d’obtempérer au cours des 5 dernières années que pendant les 20 précédentes ?
Dans ce contexte et en commémoration du rassemblement de mars 1984 des mères des victimes des crimes
racistes et sécuritaires, l’inter organisation En Deuil et En Colère 69 appelle à se mobiliser avec l’AVCS
ce 23 mars à Jean Macé à 14h, avec les revendications suivantes:

  • Pour que la justice française reconnaisse la culpabilité des auteurs et agisse de manière à prévenir
    les actes de violences
  • Pour que les affaires de meurtres cessent d’être classées sans suite dès lors que des éléments probants
    sont portés à la connaissance des procureur.e.s
  • Pour que le caractère raciste des crimes et violences soit considéré comme une circonstance
    aggravante lorsqu’il est établi matériellement
  • Pour que les familles de victimes bénéficient d’un accès privilégié au dossier dès le début de
    l’instruction des affaires
  • Pour que le problème des violences policières et carcérales soit porté dans le débat public par la
    constitution de groupes de travail composés de magistrats, avocats, familles et associations de quartier
    chargés de penser la prévention et la condamnation des crimes sécuritaires (refonte de l’IGPN, soutien
    aux familles, etc)
  • Pour l’abrogation de l’article L435-1
    Appel de l’Association des Victimes de Crimes Sécuritaires ici : https://www.facebook.com/permalink.php? story_fbid=pfbid05abBYKXqu71hNJMFmv6PUfoWq9TJuLmVD67nCuvdRZEhyCUGHdHFE7aYAMFiTE a4l&id=100064290715328

    Avec le soutien de l’inter-organisation En Deuil et En Colère 69

    Organisations signataires:
    Assemblée Gilets Jaunes Lyon et Environs, Attac Rhône, Ensemble! 69, Flagrant Déni, LFI 69, MNL 69,
    NPA 69, REV 69, Comité SDLT Villefranche, UD CNT 69, USL69

Rencontres Européennes sur l’Eau

Les 4, 5 et 6 avril à lyon
https://europeanwater.org/fr/

Eau potable : La Métropole de Lyon acte une nouvelle structure tarifaire écologique et solidaire !

Communiqué du collectif « Eau Bien Commun »

Depuis la création de la Régie Eau Publique du Grand Lyon, la Métropole de Lyon franchit une nouvelle étape en votant ce 11 mars une nouvelle structure tarifaire pour l’eau potable à partir de 2025.

Eau Bien Commun Lyon-Métropole témoigne de la qualité du long processus démocratique qui a permis d’intéresser un grand nombre d’habitants aux enjeux de l’eau (démarche Eau Future) puis de pérenniser une « assemblée des usagers de l’eau » qui a été très largement associée au travail sur la tarification. Au delà des décisions elle-mêmes, c’est d’abord cette méthode de co-construction que nous voulons souligner.

3 éléments particulièrement significatifs correspondent aux axes que nous portons en tant qu’association depuis longtemps :

  • Les 12 premiers m3 d’eau consommés, correspondant à l’eau vitale, gratuits pour tous. Il s’agit là du droit d’accès universel à l’eau, bien commun indispensable à la vie.
  • La mise en place d’une tarification progressive, distinguant une tranche d’eau essentielle pour les usages domestiques d’une tranche supérieure d’eau dispendieuse au vu des objectifs de sobriété nécessaires pour préserver la ressource.
  • La mise en place d’une aide préventive automatique à destination des ménages en situation de précarité, leur permettant de ne pas dépasser 3% de leur budget en consommation d’eau. Cette automaticité évite les écueils de stigmatisation et de non-recours aux aides sociales habituelles.

Bien sûr, ces mesures ne répondent pas à 100% à tous les objectifs environnementaux et solidaires que nous voudrions voir mis en œuvre, à la fois pour des raisons de limitations légales, financières, et parce que les décisions résultent d’un processus de négociations.

Ainsi, nous n’avons pas pu obtenir à ce stade de suppression ou de baisse notable de la part fixe « d’abonnement », limitant de fait l’impact des premiers m3 gratuits. De même, cette structure tarifaire ne s’appliquera à ce stade qu’à la part « eau potable » soit seulement 44% de la facture d’eau, l’assainissement et les diverses taxes ne se trouvant pas encore concernées.

Il reste encore beaucoup à travailler, notamment pour faire évoluer au niveau national des cadres réglementaires qui limitent les possibilités d’aller plus loin dans les objectifs affichés. Les élu·es de la Métropole disent être prêt·es à poursuivre ce travail, nous souhaitons pour notre part y prendre toute notre part.

Le C.A. d’Eau Bien Commun Lyon-Métropole, 12/03/2024

Grève Féministe

Le 8 mars, journée internationale de lutte pour les droits des femmes et minorités de genre, nous ferons la grève féministe. Nous crierons haut et fort contre le système patriarcal et contre ce gouvernement hypocrite. Nous marcherons ensemble pour 

  • Exiger des moyens pour lutter contre les violences sexistes et sexuelles                                           
  • Exiger l’égalité salariale et professionnelle et obtenir le rattrapage des pensions des femmes retraitées ainsi que la revalorisation des métiers féminisés, la fin de la précarité et des temps partiels imposés et l’application de la loi qui – depuis 50 ans ! – prévoit un salaire égal pour un travail de valeur égale
  • Exiger un investissement financier et un recrutement massif dans les services publics pour une réelle prise en charge collective des tâches domestiques, du soin, du lien et de l’éducation
  • Développer une éducation féministe et égalitaire, qui lutte enfin contre tous les stéréotypes et toutes les violences et qui donne à tou.te.s la possibilité de choisir librement ses études, sa formation, son métier.
  • Exiger une inscription dans la constitution du droit réel à l’IVG, l’allongement des délais et l’accès effectif sur l’ensemble du territoire à l’avortement et à la contraception
  • Exiger l’accès à la PMA pour tous.tes 
  • Exiger une réelle prise en charge des traumatismes psychologiques pour les personnes victimes de violences sexistes et sexuelles
  • Exiger l’abrogation de la loi immigration, une loi raciste et xénophobe qui pénalise particulièrement les femmes et les minorités de genre
  • Affirmer notre solidarité avec les femmes et minorités de genre du monde entier qui subissent les oppressions du patriarcat
  • Exiger une diplomatie et une politique étrangère féministe, c’est-à-dire qui s’attache à empêcher la guerre, la répression, la négation des droits des femmes et des minorités de genre partout dans le monde

Le 8 mars, on s’arrête tout.e.s. On se met en grève. 

Par la grève, nous montrons que ce monde ne fonctionne pas sans nous ! 

Notre détermination ne faiblira jamais !

Retrouvons nous dans la rue partout en France, et à Lyon :

RDV dès 12H30 pour un grand pique-nique féministe et la préparation des pancartes place Jean Macé et à 14h place Jean Macé pour le départ de la manifestation

POUR LA PAIX : TROUPES RUSSES HORS D’UKRAINE !

Communiqué du Collectif 69 de soutien au peuple ukrainien, Lyon le 20/02/24

Dix ans après l’annexion de la Crimée et l’invasion du Donbas, deux ans après l’invasion à grande échelle de l’Ukraine,

POUR LA PAIX : TROUPES RUSSES HORS D’UKRAINE !

La Russie de Poutine prolonge et intensifie la guerre. Elle dure car l’aide des alliés de l’Ukraine (financière, militaire …) demeure trop faible. La résistance ukrainienne fait face mais a besoin de soutien massif.

N’oublions pas l’Ukraine !

Nous voulons la fin des bombardements et de tous les crimes perpétrés sur le territoire ukrainien ; le retrait de l’armée russe hors du territoire ukrainien dans ses frontières internationalement reconnues ; le retour chez elles des populations ukrainiennes déportées, des enfants et des prisonniers de guerre. Nous voulons le jugement des criminels de guerre tels Poutine, qui broie et élimine ses opposants.

La guerre dure car la Russie de Poutine se fixe comme but de détruire la nation ukrainienne, pour cela il s’en prend à tous les opposant.e.s à sa guerre et veut s’en prendre aussi à la démocratie et à la paix en Europe.

N’oublions pas l’Ukraine !

C’est pourquoi à Lyon aussi, nous répondons à l’Appel pour une journée nationale d’actions « Ensemble le 24 février » :

À l’initiative de Lyon-Ukraine et des associations ukrainiennes de Lyon :
SAMEDI 24 FÉVRIER À LYON
RASSEMBLEMENT PLACE BELLECOUR
14 h 30 – 17 h

À l’initiative du Collectif 69 de Soutien au Peuple Ukrainien :
SAMEDI 24 FÉVRIER À LYON
SOIRÉE-DÉBAT À LA MAIRIE DU 1er ARRONDISSEMENT DE LYON
« UKRAINE, IL Y A URGENCE »
S’ informer – comprendre – être solidaires
18 h – 20 h 30
Avec
* Dorota Dakowska, professeure à Science Po Aix : « L’Ukraine de l’Indépendance à la guerre et la réssistance contre l’impérialisme russe » .
* Clément Peretjatko, artiste, secrétaire de Lyon Ukraine : « témoignages, retour d’Ukraine ».
* Stefan Bekier, membre du Réseau Européen de Solidarité avec l’Ukraine : « la solidarité internationale aujourd’hui. »
La parole à d’autres associations ukrainiennes, biélorusses, des syndicalistes et débat avec la salle.
Exposition photographique du journaliste Christian Verdet « Ukraine, une enfance en ruine ».
Un point presse sera tenu sur place.

VENDREDI 23 FÉVRIER
19 h 30 – 22 h 45
DÉBAT À L’« AQUARIUM CINÉ – CAFÉ »
(10 rue Dumont, 69004)
autour du film « Pierre, Feuille, Pistolet »
(sur inscription)

Collectif 69 de soutien au peuple ukrainien :
(contact fede.rhone@ldh-france.org)

Premiers signataires : Comité Ukraine 33 – DAR Artistes pour l’Ukraine – Bel’Art (Association Culturelle bélarusse) – Association Européenne de l’Éducation AURA – Comité d’Information pour une Syrie Libre et Démocratique – EELV69 – Émancipation 69 – Ensemble! 69 – LDH 69 – MAN 69 – NPA 69- Place Publique 69 – Union syndicale Solidaires Rhône .